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une telle fureur que mon ventre claqua contre ses fesses.

Nous restâmes alors un moment immobiles pour savourer mutuellement toute la volupté de notre luxure. Je passai une main sous son ventre, et le branlant rapidement, je l’amenai de suite à une extase de délices. Je lui laissai à peine le temps de faire deux ou trois pressions intérieures sur ma pine, mais connaissant combien les femmes lascives aiment les mouvements rapides aussitôt qu’elles ont déchargé, je commençai une série de coups rapides, enfonçant ma pine chaque fois jusqu’aux couilles, criant pendant tout le temps des expressions ordurières, telles que :

Est-ce que ça ne te fait pas jouir ? Tiens, tu l’as toute jusqu’aux couilles dans ton superbe con lascif et voluptueux, etc., etc…

Elle devint tout à fait folle de luxure, m’appelant son cher petit fouteur aimé, adoré.

— Oui, oui, je la sens jusqu’aux poils. Je la possède bien toute, mon cher enfant. Ta chère, chère grosse pine me tue… me tue… me tue… de plaisir. Oh !… oh !… oh !…

À la fin, elle déchargea copieusement en poussant des cris de volupté. Elle avait à peine terminé et était encore toute frémissante de plaisir, lorsque, sentant que moi aussi je ne pouvais pas me retenir davantage, je retirai ma pine en fureur et l’approchai du charmant petit orifice de son derrière où je me proposais de l’introduire. Malgré la fureur de mon excitement, je fus assez gentil