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deux en même temps, car ils sont si près l’un de l’autre.

— Tu es un enfant étonnant, fais comme tu dis, cela me procurera une double jouissance.

Je commençai donc à lui donner le postillon à notre extrême et mutuelle satisfaction ; nous déchargeâmes bientôt avec le plus grand plaisir, avalant tous deux tout ce que nous pouvions attraper et continuant à nous sucer jusqu’à ce que nos passions fussent de nouveau allumées. Je lui déclarai alors que j’avais encore envie de l’enfiler à genoux, position qui lui avait procuré auparavant une si vive jouissance. Comme elle se soulevait un peu plus, je promenai mes mains sur son joli et gros derrière et collai mes lèvres à son trou du cul, fourrant ma langue aussi loin que je pus.

— Oh ! Charles, qu’est-ce que tu fais ? Comme c’est délicieux !

Et elle tortillait son derrière au-dessus de ma bouche de la manière la plus voluptueuse et la plus lascive.

— Oh ! mon ami, lève-toi et fous-moi, tu m’as trop excitée.

Je me mis moi-même sur mes genoux derrière elle et je l’enfilai avec une telle sauvagerie, qu’elle en cria de bonheur en sentant mon monstrueux instrument s’engouffrer dans elle. Je me baissai et lui branlai le clitoris comme elle aimait, mais désirant contempler les magnifiques mouvements de son derrière, je la priai de se branler elle-même, de manière à ce que je puisse satisfaire mon désir ;