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pressions intérieures que sa passion était enfin allumée. Je la foutis trois fois sans déconner ; la troisième fois, elle parut éprouver plus de plaisir ; cependant elle disait ressentir encore un peu de peine.

Je lui conseillai alors de se lever, de se rafraîchir avec de l’eau pour soulager les parties endolories et de laver les traces de sang dont ses cuisses étaient couvertes. Tu avais eu une bonne idée de penser au linge : en résumé, j’ai suivi dans toute cette affaire les conseils que tu m’avais donnés et que tu tenais de tes expériences quand tu avais pris les pucelages de madame Vincent et de tes deux sœurs ; sans toi, je ne m’en serais pas tiré aussi bien, quoique mes expériences avec ton admirable tante, m’aient donné beaucoup de goût pour l’art de foutre.

J’eus beaucoup de peine à persuader à Ellen de me permettre de le lui remettre, car elle déclara qu’elle avait affreusement souffert quand je lui avais brisé son pucelage. Cependant, après l’avoir bien gamahuchée, j’avais enflammé ses passions, et ayant bien lubrifié la tête de ma pine, j’entrai bien doucement et ne fis que des mouvements très lents. Je déchargeai sans l’avoir fait décharger elle-même. Mais sa fente bien graissée me mettant plus à l’aise pour mes mouvements, elle déchargea avec un plaisir extrême quand je fis couler mon foutre pour la seconde fois.

Cependant, comme elle avait encore une certaine appréhension, et surtout la crainte que ma-