Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/245

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
244


que immédiatement et elle était si excitée qu’elle me remplit presque la bouche.

Je me relevai, et approchant ma pine près de son con, je la fis entrer jusqu’à la tête, mais j’étais moi-même si excité par tout ce que je faisais et ce que j’avais vu avant, que je déchargeai de suite dans une agonie de plaisir, étouffant à moitié un cri de volupté, qui aurait été entendu par toi et maman si vous n’aviez pas été si occupés à autre chose.

Ellen était si excitée par ce que je venais de lui faire par la scène qui se passait sous ses yeux et qu’elle n’avait pas cessé de regarder, qu’elle me laissait faire tout ce que je voulais. Mais mon cri l’avait effrayée, spécialement aussi parce que dans la dernière poussée que je lui avais donnée, je l’avais envoyée frapper de la tête contre la porte, ce qui avait fait un certain bruit. Elle se releva et me délogea de la petite place que j’avais prise dans son con. Elle se tourna pour m’embrasser avec passion et me murmura de nous en aller ailleurs.

Je la pris par la taille et nous regagnâmes rapidement le lit de maman.

La lumière me permit de trouver un linge : j’expliquai à Ellen que c’était pour ne laisser aucune trace de ce qui allait se passer. Elle était vraiment trop excitée et trop désireuse du morceau pour faire la moindre résistance. Je la priai de retirer sa chemise, car elle avait dû voir que Charles et maman étaient tous deux entièrement nus ; elle