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con par derrière, tellement, qu’elle me pria de me lever et de l’enfiler ; tout cela fut l’affaire d’une minute ou deux. Alors ma pine en fureur, aidée par l’épaisse salive dont je lui avais tout barbouillé le con en la gamahuchant, fut dirigée vers sa fente et s’engouffra d’un seul coup aussi loin que le lui permirent mes couilles, ainsi que son magnifique derrière.

Ma pine étant entièrement engloutie, je m’arrêtai un moment pour peloter et louer ses magnifiques fesses ; puis, me courbant, je chatouillai son bout de téton d’une main et branlai son clitoris de l’autre.

Ce fut bientôt fait. Après mon long repos et mon sommeil réparateur, j’arrivai de suite au dénouement, mais cependant pas plus vite que ma chère et passionnée maman, qui se joignit à moi dans une copieuse décharge, avec une joie délirante et les plus délicieuses pressions intérieures, car elle était le plus parfait et le mieux accompli des acteurs dans les combats de l’amour, et dans son genre, était digne de ma ravissante tante et de ma bien-aimée Frankland, et tout aussi accomplie qu’elles dans l’abandon de la luxure et de la lubricité, quoique jusqu’à ce moment je n’eusse encore essayé que les plaisirs dans les voies ordinaires.

Ses exquises pressions intérieures avaient empêché ma pine de débander, et après lui avoir laissé goûter sa jouissance pendant une ou deux minutes, je me remis en mouvement, ce qui fit reprendre