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solument déflorer mon trou du cul avec son clitoris si extraordinairement long et proéminent, ne s’imaginant certainement pas que, là aussi, elle avait été devancée par mon cher et bien-aimé ami Mac Callum. Elle eut cependant tout le plaisir imaginaire d’une prise de pucelage.

Comme on peut, le supposer, je ne fis rien pour la détromper de son ignorance à ce sujet.

Nous nous étions gamahuchés mutuellement, je l’avais foutue deux fois dans le con et une fois dans le cul, lorsque la fantaisie lui prit de m’enculer avec son clitoris. Naturellement, je ne fis aucune objection ; au contraire, je le suçai de manière à le faire devenir suffisamment raide, je me mis à quatre pattes, dans la position la plus favorable pour satisfaire son désir érotique. Elle glissa d’abord sa langue dans mon trou du cul, mouilla son clitoris avec sa salive, lubrifia mon anus avec le foutre gluant dont son con était plein et m’enfonça alors le cher objet avec la plus grande facilité aussi loin qu’elle put.

Je la secondai de toutes les manières, tortillant mon derrière de droite et de gauche, ce qui était, selon elle, bien supérieur aux mouvements de va-et-vient. Elle passa son bras sous mon ventre, elle excita au dernier degré ma pine avec ses ravissants attouchements, pour lesquels elle ne pouvait pas avoir de rivales, faisant répondre mon sphincter aux tressaillements de ma pine, excitant également ses passions avec l’idée qu’elle était la première à prendre possession de ce petit temple de volupté.