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elle et de lui mettre ma pine dans la main, qu’elle fit de suite glisser entre ses cuisses. Elle m’avoua que de cette manière la pine devait entrer bien plus loin, ce qui était la vérité. Quand elle fut entrée jusqu’aux couilles, elle me dit d’admirer, d’apprécier, de tripoter les splendides fesses de son derrière, m’avouant que tout cela l’excitait énormément.

Naturellement, c’est ce que je fis, admirant non seulement leur largeur et leur fermeté, mais aussi les magnifiques mèches soyeuses et frisées qui se promenaient entre ses fesses, couvrant son magnifique trou du cul rose.

Après l’avoir ainsi excitée, elle me pria de m’avancer sur elle et de jouer d’une main avec le bout de son téton, pendant qu’avec l’autre je lui chatouillerais son clitoris.

Je fis tout cela admirablement bien, avec cependant un certain air de maladresse. Elle me dit que je serais bientôt parfait. Nous tirâmes encore deux coups, mais elle tomba alors en avant, m’entraînant avec elle, car elle ne m’avait pas permis de me retirer ; puis, nous tournant sur le côté, encore emmanchés l’un dans l’autre, nous tombâmes tous deux dans un profond sommeil pour nous réveiller quand il faisait grand jour.

Maman sauta hors du lit, ce qui obligea ma pine à déloger. Elle était alarmée de penser que les gens de la maison pouvaient être déjà levés. Je la suppliai d’essayer encore une fois de me soulager de la raideur qui venait encore de me saisir,