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été la première à m’initier aux délicieux mystères d’amour.

Naturellement, je fis tout ce que je pus pour ne pas amener chez elle une déception de ce qui paraissait lui faire tant de plaisir, et je puis ajouter que ce fut la dernière fois que j’agissais ainsi, car je devenais tous les jours de plus en plus homme, je pris carrément ensuite le taureau par les cornes et je manquais rarement de réussir.

Nous nous levâmes et elle se tourna dans tous les sens pour me laisser bien voir les rares beautés de sa personne, m’expliquant elle-même ses propres beautés, les seins, les fesses, son ventre bien blanc et poli, sans un pli, quoiqu’elle ait eu un fils ; elle était, en effet, une des rares femmes auxquelles rien ne reste après un pareil événement.

Sa poitrine, sans être aussi grosse que celle de ma tante, était ferme et excessivement blanche, avec des petits bouts roses, plus gros que ceux d’une jeune fille, mais pointant bien raides et invitant à les sucer. Quant à son con, elle se coucha sur le dos, ouvrit ses cuisses et me permit la plus minutieuse inspection.

J’ai déjà fait allusion à son clitoris, tel que l’a décrit Ellen à Henry ; il était très gentiment développé, un peu moins long que celui de Frankland et pas aussi gros. Comme je lui touchais le con et que j’y avais introduit mes doigts pour le tenir un peu ouvert, cela l’excita et monsieur le clitoris