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où elle avait eu le bonheur de m’initier à tous les mystères de l’amour, car elle n’eut jamais connaissance de mes précédentes expériences, et elle fut toujours très fière d’avoir été ma première institutrice sous ce rapport.

Le lendemain, je fus un paresseux, mais, comme on peut le supposer, miss Frankland n’eut pas l’air de s’en apercevoir, et, quand l’heure de la récréation fut arrivée, elle se retira dans sa chambre.

Mes sœurs me grondèrent pour n’être pas allé les rejoindre pendant la nuit, mais je leur dis que miss Frankland avait veillé dans sa chambre tellement tard que je m’étais endormi profondément, même que je n’avais pas eu assez de sommeil, puisqu’elles avaient pu voir que j’avais été tout endormi pendant le jour. Cependant, pour les satisfaire, je les gamahuchai toutes les deux et je les foutis l’une après l’autre pendant qu’elles se gamahuchaient mutuellement, de sorte qu’elles déchargèrent trois fois et moi deux fois seulement. Je ménageais mes forces pour les jouissances qui m’étaient promises pendant la prochaine nuit.

Je montai me coucher de bonne heure et m’endormis de suite profondément, n’ayant pas besoin de me tenir éveillé, étant persuadé que miss Frankland me réveillerait aussitôt qu’elle serait prête à me recevoir dans ses bras.

Elle vint, en effet, et nous passâmes une seconde nuit dans des voluptés impossibles à décrire.

Une troisième nuit suivit les deux autres, mais avec ce changement que miss Frankland voulut ab-