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au moment de l’extase. Nous demeurâmes plusieurs minutes palpitants de toutes ces sensations des plus ravissantes joies qu’il soit humainement possible de se procurer.

Nous passâmes plusieurs heures ensemble, ma tante suçant la jeune pine de Henry pendant que je la gamahuchais et lui donnais le postillon, à sa plus grande joie. De cette manière, et en changeant souvent d’un trou dans un autre, mais les occupant toujours tous deux en même temps, nous arrivâmes à un repos que nous avions bien mérité.

Le pasteur, qui s’était tenu à l’écart pendant cette première séance avec sa femme, nous surprit par la suite, comme par hasard, et après nous avoir donné une bonne fessée et en avoir reçu une de nous, il se joignit à nous dans toutes nos orgies.

Il aimait surtout à m’enculer pendant que j’enconnais sa femme et que lui-même avait la pine de Dale enfoncée jusqu’aux couilles dans son trou du cul. Ce ne fut que bien longtemps après que j’arrivai à pouvoir enculer le jeune garçon, mais à la fin j’arrivai à satisfaire mes désirs, quoique pendant plusieurs semaines après la première attaque, je continuai à le faire souffrir ; mais à la fin il put me recevoir sans aucune peine, et nous pûmes alors jouer tous deux à nous enculer mutuellement et chacun pouvait éprouver le délicieux plaisir de pouvoir foutre et être foutu en même temps.

Comme nous étions devenus de plus en plus intimes, j’amenais souvent la conversation sur sa