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effectué sans nous exciter énormément tous deux. Miss Frankland n’était pas restée inactive et m’avait fait les mêmes caresses que je lui faisais, et son clitoris, extraordinairement long, se montrait tout rouge et tout raide au travers de la profusion de poils frisés dont les environs étaient recouverts.

Je proposai de nous sucer mutuellement par terre, en tournant son derrière vers le jour, de façon à ce que je puisse avoir la vue entière de toutes ses parties si ravissantes. Elle approuva mon idée et, jetant par terre deux oreillers qu’elle avait pris sur le lit, pour me relever un peu la tête, elle m’enjamba et, s’agenouillant par terre, elle prit ma pine dans sa bouche et approcha son magnifique derrière et son con gluant au-dessus de ma figure. Je commençai par coller mes lèvres à son con tout ouvert, poussant dedans mon menton, puis ma langue, aussi loin que je pus, léchant le foutre qu’avaient fait couler nos précédents pelotages ; c’était aussi doux et aussi bon que de la crème. Ceci l’excita beaucoup, et elle ferma les lèvres de son con sur ma langue assez fort pour lui donner une bonne étreinte. Je n’ai jamais vu une femme comme elle pour avoir une pareille vigueur sous ce rapport. Mon nez était presque enfoncé dans le trou de son cul et je sentais qu’il y était aussi comprimé ; aussi, changeai-je de route et, à sa grande jouissance, je glissai ma langue dans son derrière. Mais, comme la crise approchait, elle me dit de prendre son clitoris dans ma bouche et de lui enfoncer un doigt dans chacun des deux autres ori-