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soyeux, à la manière charmante dont elle avait caressé son vit, lorsque soudain il sentit une poussée, puis un tremblement, puis enfin une sensation somme s’il allait expirer. Vigoureusement et sauvagement il poussa son membre dans la chaude main du pasteur, ferma les yeux et ne sentit plus la verge, quoique le pasteur redoublait ses coups de toute la force de son bras et que le sang jaillissait à chaque coup : un bond, un mouvement convulsif et il sembla qu’il perdait tout son sang, c’était son foutre qu’il éjaculait sur le sopha et sur la main du pasteur. Le jeune garçon venait de payer avec difficulté un nouveau tribut à Vénus.

Pendant un moment il se crut au paradis, mais un violent coup de verge le fit se relever promptement.

Par un coup violent, il demandait la réponse.

— Eh bien, jeune vaurien, qu’est-ce que vous avez fait sur mon meilleur sopha, hein ! monsieur ? dit le pasteur.

— Moi, monsieur, oh ! monsieur. J’ai… en vérité… Je n’en sais rien.

— Allons, monsieur, pas de mensonges ni de détours ici, car ils ne vous serviraient à rien. Votre derrière paiera pour cette saleté. En vérité, qu’est-ce que c’est ? qu’est-ce que ça peut être ? Je déclare que je n’ai jamais de ma vie rien vu de pareil, et il examinait les taches avec son lorgnon.

Nous savions que le pauvre Dale était parfai-