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scène voluptueuse n’avait pu la faire raidir, aussi il dit à sa femme :

— Ma chérie, il faut avoir recours au grand remède, ce qui initiera en même temps ce cher enfant à de nouveaux plaisirs amoureux dont il n’a aucune idée.

Je me doutai de suite de quoi il était question, mais j’eus l’air d’en être tout à fait ignorant et lui demandai de quoi il était question. Ma tante se leva en disant :

— Mon chéri, ton oncle désire exciter son sang en se faisant fouetter les fesses avec une verge de bouleau.

— Est-ce possible ? Je n’ai jamais ressenti qu’une grande peine chaque fois que j’ai été fouetté et je faisais tous mes efforts pour ne pas mériter à nouveau la punition. Comment cela peut-il exciter ?

— Tu vas le voir, mon ami.

Elle ouvrit un placard et en sortit une formidable verge formée de fines branches de bouleau. Le pasteur me fit étendre sur le dos, se mit dessus moi à contre-sens et nous commençâmes à nous sucer mutuellement la pine.

La mienne banda de suite, car le pasteur non seulement la suçait, mais m’avait introduit deux de ses doigts dans le trou du cul qu’il me branlait aussi vite qu’il me suçait. Les fesses du pasteur se trouvaient à la merci de ma tante qui les fouettait d’une main vigoureuse. Je déchargeai avant que le pasteur ne fût arrivé à une demi-érection,