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nos mouvements devinrent alors plus rapides ; nous sentions tous deux que le moment de la crise suprême approchait. Ma tante sentit l’influence de notre raideur et de notre furie et fut prête en même temps que nous pour offrir son tribut à la déesse de l’amour et de la luxure, notre sainte mère Vénus ; enfin, nous tombâmes tous trois morts de plaisir, ravis d’avoir donné pleine satisfaction à nos désirs, pour la nouveauté, l’étroitesse et par l’excès de volupté obtenu par cette manière nouvelle de procéder.

Nous restâmes longtemps dans cette extase, jusqu’au moment où nous sentîmes les délicieuses étreintes internes de ma tante. La pine du pasteur était tout à fait molle et inanimée ; aussi il se retira, nous priant en même temps de changer nos positions afin de lui procurer le plaisir de contempler ma tante pendant que j’allais l’enculer. Cette idée m’enflamma de suite.

Ma tante se mit en position, je me plaçai derrière elle et commençai à tirer le plus admirable coup qu’il soit possible d’imaginer, ayant sous les yeux les mouvements lascifs du derrière de ma tante pendant que mon oncle m’introduisait deux doigts dans le trou du cul.

La crise fut des plus exquises ; je tombai épuisé sur le dos et les larges fesses de ma tante en proférant les mots les plus ignobles au grand contentement de nous tous. Le pasteur, qui avait eu le plus grand plaisir à nous voir opérer, nous montra que sa pine était toujours aussi molle et que cette