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jouissances que je lui avais procurées pendant cette nuit dont elle n’avait jamais eu la pareille. Elle se retira alors vers son lit, non sans m’avoir encore tapoté un peu les fesses.

Comme il est facile de le supposer, après une pareille séance, je dormis du sommeil du juste pendant plusieurs heures. Ma tante était venue fréquemment me voir, mais comme elle me voyait plongé dans un profond sommeil, elle ne voulut pas me déranger, raisonnement naturel et intéressé, car si je n’avais pas restauré mes forces par un bon sommeil, il m’aurait été impossible dans la journée de prendre part aux voluptés du pavillon d’été.

Ce genre d’existence durait environ depuis trois semaines, quand nous nous aperçûmes que le pasteur était de plus en plus difficile à émouvoir. Un matin j’avais déjà enfilé deux fois ma tante et c’est à peine si la pine de mon oncle avait pu arriver à une demi-érection. Je la pris dans ma bouche et l’amenai rapidement à une érection complète en lui chatouillant les couilles et en lui postillonnant le trou du cul. Il voulut enculer ma tante pendant que je lui rendrais le même service.

J’eus alors une fantaisie, celle d’enfiler ma tante tous les deux en même temps dans son vaste con. Ma tante, par pure forme, se révolta contre cette proposition, mais cette idée chatouilla agréablement mon oncle qui, non seulement pourrait jouir pendant l’opération de l’admirable vue du derrière de ma tante, mais pourrait le postillonner en mê-