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engloutie pendant tout le temps de notre sommeil. Je me réveillai le premier pour me trouver bandant encore dans la petite fente divine dont les plis intérieurs m’étreignaient délicieusement de palpitations nerveuses.

Je glissai ma main vers son clitoris et commençai à la foutre.

Elle soulevait son derrière en murmurant quelques mots incohérents, étant évidemment encore sous l’influence du sommeil et rêvant probablement à des événements antérieurs, car je pus distinguer ceci :

« Henry, mon seul amour… nous voilà encore réunis… Oh ! quelle joie ineffable !… Oh ! comme c’est délicieusement bon !… Pousse !… Va plus vite !… Mon amour bien-aimé !… »

Elle me serra nerveusement, comme si elle voulait ne faire qu’un corps de nos deux corps et déchargea en poussant des cris de volupté, laissant couler et faisant jaillir au dehors, sur mes couilles et mes cuisses, un véritable torrent de foutre brûlant.

« Très cher et bien-aimé Henry, murmura-t-elle, c’en est trop ! » et elle s’évanouit.

Je restai immobile, ne voulant pas parler avant qu’elle, n’eût repris ses sens. Il était évident qu’elle avait rêvé d’un précédent amoureux et certainement elle croyait, dans son sommeil, que c’était lui qui la foutait au lieu de moi.

Elle fut plus d’un quart d’heure avant de re-