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rer ma main, je ne puis pas y parvenir si tu ne relâches l’étreinte que tu fais subir à mon poignet, je n’en puis plus, il faut que je te foute.

— Je n’y peux rien, mon cher enfant, c’est malgré moi, appuie ton autre main sur le mont de Vénus, et pousse fortement mais sans secousse.

Je suivis son conseil et j’arrivai enfin à pouvoir dégager ma main, mais ce ne fut pas sans avoir été obligé de déployer une très grande force. Je grimpai immédiatement sur elle et d’un seul coup j’enfonçai dans sa vaste cavité ma pine jusqu’aux couilles. Aussitôt je me sentis saisi comme d’habitude, on aurait dit, au contraire, qu’elle était plus étroite que jamais tellement elle était supérieurement bien douée sous le rapport du con qui était bien le plus extraordinairement voluptueux que j’ai jamais foutu. On peut facilement s’imaginer que j’arrivai facilement à une décharge des plus copieuses. J’éjaculai en poussant des cris qui ressemblaient plus à des braiments d’ânes qu’à tout autre son et je tombai comme mort sur ce superbe ventre, ma tête reposant entre ses deux fermes tétons, pendant que ma tante me pressait sur son sein, me remerciant de tout le bonheur que je venais de lui donner. Nous restâmes longtemps dans les transes délicieuses de ces voluptueuses sensations.

Nos pulsations intérieures réveillèrent mutuellement toutes nos passions ; avec une ardeur nouvelle, je fis rapidement décharger encore ma lascive et libertine tante sur ma pine ravie, qui con-