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mes doigts, ce qui me permit de voir les côtés froncés du fourreau qui donnaient un plaisir si délicieux, et dont la fonction consistait à serrer et à permettre en même temps l’introduction des plus grosses pines. Un demi-pouce au-dessous se trouvait le rose « orifice de son derrière. Telle était la délicieuse scène qui se présentait à mes yeux ravis.

Je procédai alors à mon inspection intérieure. Introduisant trois doigts de chaque main, j’ouvris les lèvres par une pression latérale jusqu’à ce que je pusses voir à une profondeur de quatre ou cinq pouces ; c’était un coup d’œil des plus ravissants. Le fourreau paraissait être entouré de nerfs se trouvant à un demi-pouce de distance les uns des autres, ce qui me fit comprendre qu’ils étaient la cause de ces serrements exquis que son con exerçait presque malgré elle-même, excités par mes attouchements, je pouvais les voir se contracter et se détendre. C’était certainement ces nerfs qui devaient exercer un mouvement péristaltique sur la pine quand elle se trouvait toute raide dans ce superbe con.

Je pouvais si bien voir ce splendide vagin que l’idée me vint d’essayer d’y faire pénétrer ma main entière. J’allongeai mes doigts et, mettant le premier et le quatrième sur les deux du milieu avec le pouce par dessus, j’essayai d’entrer, et comme le con était encore plein de ma dernière décharge et par conséquent suffisamment lubrifié, je glissai facilement à l’intérieur ; il y eut un peu de dif-