Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/151

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
150


voir particulier, mais pas aussi grand que ma tante.

Je dois mentionner ici un fait qui arriva quelque temps après. C’était pendant une des rares absences du pasteur, alors que je couchais avec ma bien-aimée et ravissante tante. Je l’avais bien foutue pendant la nuit, et aussi le matin, après nous être levés pour satisfaire à nos besoins naturels.

Je m’étais étendu par terre afin de pouvoir mieux jouir de la vue du con de ma tante pendant qu’elle pissait. C’était un coup d’œil ravissant qui alluma instantanément le feu de mes passions et qui fut de suite suivi par un coup tiré par terre, les énormes fesses de ma tante nous servaient de coussin et nous jouîmes beaucoup de cette nouvelle manière d’opérer. Elle ne cessait de combler de louanges mon infatigable pine dont la vigueur et les dimensions extraordinaires dépassaient tout ce qu’elle avait pu voir et sentir et qui remplissait si bien son con large et lascif, comme il n’avait jamais aussi bien été rempli. Cette remarque me fit rappeler un désir que j’avais depuis longtemps de me livrer à un examen sérieux de cette immense et remarquable cavité, et je lui communiquai mon envie.

— Mon garçon chéri, tout ce que tu voudras, jamais tu ne trouveras une meilleure occasion, mes jambes sont tournées vers la fenêtre, en sorte que la lumière y tombe en plein dessus ; regarde, touche, branle, fous ou encule, tout est à ta disposition, seulement donne-moi un des oreillers du lit,