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vait et je n’avais plus rien à apprendre. À la fin, je lui dis :

— Est-ce que toutes les femmes ont une aussi délicieuse fente, je veux dire con, entre leurs jambes, que le vôtre ?

— Oui, mon chéri, mais il ne faut jamais essayer avec d’autres ; tu ne trouveras personne pour t’aimer autant, et je puis même ajouter, aussi capable de satisfaire ce cher ami ; mais viens, car ce serait dangereux de le laisser rester plus longtemps ici.

Elle se leva, mais je me déboutonnai rapidement et lui montrai ma pine dans un état de grosseur plus grande que jamais. Je la priai de me laisser avoir seulement « une fouterie », maintenant que je savais ce que cela voulait réellement dire. Je la lui mis dans la main. Ses propres descriptions précédentes avaient enflammé sa luxure. Elle s’en empara avec bonheur, et, se baissant, elle l’embrassa en disant qu’elle ne pouvait résister à une pareille vue. S’étendant sur le dos sur le sopha, les jupes relevées, ses pieds sur le bord, ses cuisses bien écartées, elle me montra la magnificence de son con dans toute sa gloire. Je me jetai à genoux et la gamahuchai jusqu’à la décharge ; connaissant maintenant son plaisir favori, j’approchai instantanément ma pine brûlante de son con gluant de foutre, l’y plongeai et commençai un mouvement furieux, l’accompagnant de phrases des plus cochonnes qu’elle venait justement de m’apprendre, du moins à ce qu’elle croyait.