Page:Le roman de la luxure, tomes 3 et 4, Miss Frankland - Les mystères du presbytères, 1925.djvu/133

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
132


quelques mouvements qu’elle paya un nouveau tribut à la volupté, avec une telle jouissance et en pressant tellement ma pine qu’elle faillit me faire décharger moi-même en même temps qu’elle.

Je fis de mon mieux et réussis à me retenir. Ma tante était insatiable et j’étais content de la laisser décharger le plus souvent possible, aussi je m’arrangeai pour la faire décharger encore une fois avant de me rejoindre dans la crise finale, qui nous saisit tous deux en même temps, et nous mourûmes de plaisir, ayant pour le moment seulement, satisfait nos désirs voluptueux. Je tombai sur ce magnifique derrière au moment où je fus saisis par la langueur qui suit la décharge, mais ce fut seulement pendant un instant très court. Les exquis serrements intérieurs que mon amoureuse tante exerçait sur ma pine ravie étaient trop excitants pour ne pas produire bientôt une réaction.

J’étais étendu sur son large derrière, aussi passant une main autour de ses larges tétons, je pris les bouts entre mes doigts ; avec l’autre main, je chatouillai son petit bout de clitoris ; je les excitais tous deux tout en faisant aller et venir doucement ma pine plus raide que jamais. Je sentis de suite combien cela la faisait jouir ; en effet, elle m’assura plus tard qu’un tel branlage, ajouté au mouvement lent et doux d’une pine dans son corps devant ou derrière, était des plus excitants et même meilleur que lorsqu’on manœuvre plus vigoureusement. Je la fis bientôt décharger encore.