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sa promenade qui se termina comme toujours au pavillon d’été où, après avoir soulagé trois fois mes symptômes alarmants, comme elle les appelait, et trouvant ce remède insuffisant, elle me proposa d’essayer si nous aurions plus de succès dans la position de mon oncle. S’agenouillant alors sur la basse ottomane et relevant ses jupons sur son dos, elle exposa son magnifique derrière dans toute sa gloire et m’éblouit par sa blancheur que l’on apercevait à travers la forêt de poils blonds dont elle était couverte entre les fesses et qui venaient se perdre tout autour du trou délicieux où j’allais pénétrer, me demandant comment un aussi petit orifice pouvait recevoir un aussi formidable morceau. Je me jetai moi-même à genoux et, léchant d’abord les lèvres ouvertes de son joli con, sans oublier de payer mes respects à son petit bout de clitoris, j’appliquai toute mon attention au charmant petit orifice. Après l’avoir embrassé amoureusement, j’y enfonçai ma langue aussi loin que je pus, pendant qu’avec une main en dessous, je branlais et chatouillais son clitoris enflammé. Elle tortillait son gros derrière de plaisir et déchargea copieusement, me faisant presque mal à la langue de la manière dont elle la serra avec son sphincter au moment où elle m’inonda de son foutre tout le menton et le cou.

Dans la fureur de sa jouissance, elle me cria :

— Oh ! pine-moi, mon chéri, enfonce ta magnifique pine dans le trou de mon cul ; oh ! fous, fous, fous-moi immédiatement !