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été soulagé avec succès dans son derrière et moi dans le tien hier, aussi nous allons essayer si je puis m’introduire cet énorme morceau, mais j’en doute beaucoup. Enlève, comme moi, ta chemise de nuit, ce sera bien plus commode.

En un instant, nous fûmes tous deux entièrement nus ; nous nous jetâmes dans les bras l’un de l’autre et nous embrassâmes mutuellement avec amour. Nos langues se rencontrèrent, chacune de nos mains s’empara de nos pines, et nous nous caressâmes de la façon la plus délicieuse et la plus excitante. Le pasteur prit alors ma pine dans sa bouche, la suça un peu et la lubrifia entièrement avec sa salive, crachant sur la partie inférieure, et frottant, pour étendre la salive avec son doigt tout autour. Il s’agenouilla alors et me présenta un fort joli derrière rond et ferme qu’il avança en arrière, me laissant apercevoir un trou du cul tout plissé et de couleur brun clair. Il me pria de le mouiller avec ma salive. Je me baissai et, approchant ma bouche et ma langue de l’endroit tentateur, j’y enfonçai ma langue aussi loin que je pus, le laissant bien lubrifié à la grande joie de mon oncle. J’approchai ma pine de l’entrée, il souleva bien son derrière et agit comme s’il voulait se vider. Par une poussée ferme, mais lente, je logeai bientôt la tête. Le pasteur me pria de me reposer un instant et de cracher un peu sur la partie inférieure. Je poussai encore fortement en avant, et graduellement j’arrivai à faire toucher mon ventre aux fesses du pasteur sans beaucoup de souffrance de