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qu’à ce que mon ventre rencontrât les immenses fesses de ce magnifique derrière. Je restai alors immobile pendant une ou deux minutes. Ma tante avait poussé ses fesses en arrière et avait facilité l’introduction en faisant des efforts comme si elle avait voulu se soulager. Elle se recula une fois ou deux, mais en somme, comme elle me le raconta ensuite, elle reçut mon énorme pine avec moins de difficulté qu’elle n’aurait cru.

Après quelques lents mouvements, pendant lesquels je caressai et admirai les superbes rondeurs au-dessous de mes yeux, mon oncle me dit de me baisser en avant et de caresser les superbes tétons de ma tante. Aussitôt que je fis ce qu’il m’avait dit et que je commençai à aller et venir lentement dans la délicieuse entrée où j’étais si délicieusement englouti, je sentis les mains de mon oncle se promener sur mes fesses et ensuite l’introduction de deux doigts dans mon anus. La manière dont je les serrai lui prouva combien cela me faisait plaisir. Il me demanda si cela ajoutait à la volupté que je ressentais.

— Oh ! oui, cher oncle, immensément.

— Alors, dit-il, comme moi aussi je souffre de ma raideur, je vais essayer de la soulager dans ton derrière, comme tu le fais en ce moment dans ma femme ; ne sois pas effrayé, je m’arrêterai si je te fais mal.

— Faites comme vous voudrez, mon cher oncle, vous êtes tous deux si bons pour me soulager de