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d’œil ! il faut que je l’embrasse pour tous les efforts qu’elle a fait pour me soulager.

Je précipitai ma tête en bas, je suçai, je léchai ses lèvres largement ouvertes et toutes couvertes de foutre, enfonçant ma langue aussi loin qu’elle pouvait aller. Cela fit évidemment beaucoup jouir ma tante. Mais le pasteur me retira, me dit de m’étendre sur le dos et fit monter ma tante sur moi. Elle s’empara de ma pine maintenant toute raide, la ramena en arrière et la dirigeant en face de son trou, elle se laissa tomber dessus jusqu’à ce que ses poils frisés se mêlassent avec les miens. Elle se leva et s’abaissa dessus deux ou trois fois avec des mouvements doux et lents, puis se baissant en avant, elle colla ses lèvres aux miennes pendant que j’entourais de mes bras son corps ravissant.

Je sentis le pasteur se mettre à genoux entre mes jambes et sa pine se frotter contre les lèvres du con, entièrement distendu autour de ma grosse pine, sans doute pour la lubrifier avant de l’enfoncer dans le derrière de ma tante. Je sentis le frottement de sa pine contre la mienne à travers la légère séparation, quand il l’entra doucement dans ses entrailles. Nous commençâmes alors les mouvements, mais ma tante nous battit tous deux, car elle déchargea deux fois avant de nous rejoindre pour la crise finale qui arriva avec des cris de volupté poussés par nous trois quand l’extase nous saisit et nous tombâmes dans cet état à moitié insensible, provoqué par la suprême jouissance.