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mière fois que je l’ai vu, puisse en avoir un aussi splendide morceau dans son pantalon. Oh ! je bande plus que jamais et je dé…char…ge… Oh !… oh !… »

Et elle laissa couler un nouveau torrent de foutre sur ma pine ravie. Je la laissai jouir de l’extase de cette seconde décharge jusqu’au moment où je m’aperçus que ses passions lubriques étaient excitées à nouveau et avaient besoin d’opérations plus actives. Je fis semblant de ne pas savoir où j’étais et commençai à bégayer :

— Oh ! Où suis-je ? Qu’est-ce qui est arrivé ? J’ai été au paradis !

Levant alors la tête, j’eus l’air surpris de reconnaître ma tante.

— Oh ! chère tante, comment suis-je ici ? Oh ! je me rappelle, vous aviez promis de soulager ma raideur, cela m’a paru si bon, mais je la sens aussi rai de que jamais ; vous essayerez de me soulager encore, n’est-ce pas, ma chère tante ?

— Certainement, mon cher neveu, il faut que tu fasses comme tu as fait tout à l’heure, aller et venir dedans et je t’aiderai ; et peut-être que cette fois-ci nous réussirons mieux que la première.

Naturellement, je fus un peu moins gauche et elle plus énergique. Je sentis le pasteur enfoncer un doigt mouillé dans mon fondement et le faire aller en unisson avec nos coups. Ma tante me cria d’aller de plus en plus vite et nous arrivâmes bientôt à la grande crise, mourant tous deux dans les délices de la volupté et de la jouissance.