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cul en unisson avec ses mouvements et que ma bouche suçait étroitement son raide et enflammé clitoris.

Tout son corps fut agité de convulsions érotiques, indiquant à quel degré de lubricité nos mutuelles caresses l’excitaient.

Moi aussi, j’étais fou de désir et aussi énergique dans mes mouvements ; si sa main n’avait pas maintenue la partie inférieure de ma pine, je la lui aurais tout enfoncée dans la gorge.

La crise délicieuse arriva à la fin et nous laissa anéantis dans les extases de la félicité. Nous retînmes tous deux entre nos lèvres les deux objets de volupté et nos doigts restèrent dans les réduits qui avaient tant contribué à augmenter notre plaisir.

Nous restâmes ainsi quelque temps dans cette position langoureuse ; puis, miss Frankland se leva de dessus moi en disant :

« Mon cher enfant, il faut maintenant nous coucher. »

Ce que nous fîmes, tout nus comme nous étions, nous étreignant mutuellement, nous couvrant de baisers et de caresses l’un et l’autre, murmurant de doux mots d’amour, nous racontant à voix basse les joies diverses que nous nous étions procurées. Nos mains se promenaient sur tous nos charmes. Miss Frankland avait un art spécial pour passer sa main sur ma pine et lui faire reprendre instantanément toute sa vigueur. C’était la manière la plus douce de peloter la pine que j’aie jamais con-