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dant que l’autre, à genoux au-dessus de sa tête, se faisait gamahucher par celle qui se faisait foutre et que moi j’introduisais mon doigt dans le derrière qui était devant moi. Mais la pose la plus voluptueuse que nous préférions était celle-ci : l’une était étendue sur le dos et l’autre par-dessus elle se soutenant sur les mains et sur les genoux. Cette dernière approchait sa bouche du con de celle qui était étendue sur le dos et me présentait ses fesses derrière lesquelles je me tenais à genoux. Celle du dessous guidait ma pine dans le con au-dessus de sa figure, elle avait alors la satisfaction de voir l’introduction pendant que d’une main elle chatouillait mes couilles et de l’autre m’introduisait un doigt dans le derrière ; pendant tout ce temps elle était gamahuchée par celle que je foutais et qui lui branlait aussi le trou du cul, et nous nous pâmions tous trois dans une agonie d’un bonheur ravissant pour recommencer en faisant changer de place aux deux filles seulement. Quelquefois j’essayai d’introduire ma pine dans le petit trou du cul de Marie, mais, quoique le branlage du doigt dans le