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je m’aperçus qu’elle était dans le même état. Elle me donna mon soulagement habituel avec sa douce main et ses lèvres caressantes, et me laissa seul pendant cinq nuits comme c’était son habitude quand elle était indisposée de cette manière.

Je me trouvai donc réduit à ma chère petite sœur Elise. Jusqu’à ce moment je ne l’avais jamais foutue et son pucelage était intact. Elle allait avoir quatorze ans et son con commençait à être bien formé. Ses tétons aussi, sous l’excitement érotique de mes attouchements et gamahuchages, avaient pris une certaine proéminence. Mon doigt avait rendu l’ouverture de son petit con rose d’un accès plus facile ; aussi je résolus de compléter son éducation amoureuse et de la foutre entièrement. L’occasion était excellente : miss Aline et Marie, à l’heure habituelle de notre récréation, se retirèrent toutes les deux dans leurs chambres pour se reposer ; Elise et moi nous courûmes au pavillon d’été où nous nous enfermâmes. Je la renversai immédiatement tout de son long sur le sopha, la fis décharger dans ma bouche en la gamahuchant et continuai de