Page:Le roman de la luxure, tome 2, Miss Aline, 1903.djvu/152

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
— 146 —


cles luisaient comme si elles avaient été polies. Je suis vieux maintenant, mais je n’ai jamais vu de femme pour avoir autant de poils qu’elle. Sa motte en était entièrement couverte et ils descendaient sur ses cuisses à une distance de plusieurs pouces, et passant entre ses cuisses, allaient se perdre dans le trou de son derrière où ils finissaient en deux superbes touffes, aussi épaisses et même plus épaisses que celles que les autres femmes ont sur leur mont de Vénus.

Elle avait aussi une magnifique petite ligne de boucles qui courait sur son ventre et allait se perdre entre ses deux seins ; je ne parle pas des poils qui couvraient aussi ses bras, ses jambes et ses cuisses. Je n’ai jamais vu une femme aussi délicieusement poilue, et elle était bien ce qu’une telle profusion de poils indiquait, c’est-à-dire passionnée et lubrique à un degré extrême, quand elle avait assez confiance en son compagnon pour laisser un libre cours à ses passions. Naturellement, je décris en ce moment mes expériences futures, car pour l’instant j’étais seulement ébloui par la ri-