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rester Elise avec elle, me renvoyant avec Marie. Elle ferma la porte à clef sur Elise et sortit, probablement pour aller chercher des verges. Elle revint bientôt, s’enferma avec Elise dont elle fouetta vigoureusement le pauvre derrière. Elle la renvoya quand ce fut fini, et Elise nous rejoignit en pleurant abondamment des souffrances qu’elle éprouvait.

Nous l’étendîmes sur le sopha et relevâmes ses jupons au-dessus de sa tête pour lui rafraîchir le derrière qui lui brûlait, disait-elle, comme s’il était couvert de charbons ardents. J’embrassai ces chères fesses toutes rouges, couvertes de marques qui les faisaient ressembler à un morceau de bœuf cru, cependant le sang n’avait pas coulé. Nous l’éventâmes, avec nos mouchoirs de poche, ce qui lui procura un soulagement délicieux.

Au bout de quelques minutes, elle se mit à remuer le derrière, paraissant très excitée, et s’écria :

— Charles chéri, fourre-moi ta pine dans le con, car je commence à désirer avidement d’être foutue.