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nir Elise. On peut imaginer sa stupéfaction en voyant Marie dans les bras d’un étranger ; mais comme cette vue avait fait son effet habituel sur mon sensible organe, qui se dressait tout raide prêt à éclater, je la fis s’agenouiller en face d’eux et lui introduisis par derrière ma pine dans le con, de sorte que nous pouvions tous deux jouir de la fouterie qui se passait devant nous. Cela redoublait notre excitement et nous déchargeâmes tous les quatre dans une agonie de volupté.

Nous nous assîmes alors pour faire plus ample connaissance, chose qui ne fut pas très difficile, comme on le suppose, après une pareille introduction. Notre nouvel ami nous donna quelques conseils pour nos amusement futurs, tout en pelotant le con d’Elise d’une main et ma pine de l’autre, il nous branlait tous deux bien gentiment. Il me fit bientôt bander énormément et me fit alors mettre sur le dos, il se mit à admirer et à me contempler sur le développement extraordinaire de ma pine, disant qu’il n’en avait jamais vu d’aussi grosse à un jeune homme de mon âge, quoique en