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D’ANTOINE WATERLO.


jusqu’au coin inférieur de la planche. Au bord de ce chemin , sur le devant de l’estampe , un voyageur est assis , ayant un paquet sur le dos , et tenant un long bâton. Son chien se repose vis-à-vis de lui. A quelque distance un bel arbre isolé s’élève sur le bord de l’eau. Encore un peu plus vers le fond, on apperçoit, à mi-corps, un autre homme dirigeant ses pas vers la foret qui s’étend sur toute la largeur de L’estampe, en se tirant vers le fond à gauche. On lit dans la marge du bas, à gauche, Se chiffre 5, et à droite, les mots : Antoài Waterlo fe. ’

112. Les deux hommes dans le creux.

6) «Sur le côté droit est une hauteur de laquelle un chemin descend , en se tirant vers la gauche. Ce chemin est enveloppé de bois touffus qui, vers le haut de la droite , font supposer une épaisse forêt. A peu-prés à la moitié de la descente est un creux pratiqué en largeur, dans lequel on apperçoit deux hommes qui descendent le chemin. L’un est vu à mi-corps , l’autre ne paroit qu’en buste. Sur le devant à droite est une petite pièce d’eau. Le fond