roses non point sur des joues de jeune fille, ô Zeinab, mais sur le cul fondamental et duveté de mon ami.
« Voici pourquoi, ô Hind, jamais plus ne saurait m’attirer ta chevelure teinte, et toi, Zeinab, ton jardin rasé, où manque le duvet, ou même ton derrière trop lisse qui manque de granulé !
« Un autre a dit :
« Prends garde de médire de ce jeune daim en le comparant, parce qu’il est imberbe, à une femme simplement ! Il faut être scélérat pour dire ou croire une chose pareille. Il y a de la différence !
« Quand, en effet, tu t’approches d’une femme, c’est par devant ; aussi t’embrasse-t-elle au visage. Mais le jeune daim, quand tu l’approches, est obligé de se courber et de la sorte, songe ! il embrasse la terre ! Il y a de la différence.
« Un autre a dit :
« Enfant mignon y tu étais mon esclave et, de propos délibéré, je t’ai libéré pour te faire servir à des assauts inféconds. Car toi du moins tu ne peux couver des œufs dans tes flancs.
« Quelle chose effrayante en effet pour moi, ce serait d’approcher une femme vertueuse aux larges flancs : sitôt assaillie, elle me donnerait tant d’enfants que le pays tout entier ne saurait les contenir !
« Un autre a dit :
« Mon épouse me lança tant d’œillades épicées et se