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histoire de baïbars… (le 7e capitaine…)
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HISTOIRE RACONTÉE PAR LE SEPTIÈME
CAPITAINE DE POLICE


Un jour d’entre les jours, dans la localité où je me trouvais, un voleur d’entre les Arabes vint pendant la nuit à la maison d’un fermier, pour voler un sac de blé. Mais les gens de la ferme entendirent du bruit, et m’appelèrent à grands cris, en disant : « Au voleur ! » Mais notre homme réussit à se cacher si bien que, malgré toutes nos recherches, nous ne pûmes arrivera le découvrir. Et, comme je reprenais le chemin de la porte pour m’en aller, je passai à côté d’un gros tas de blé qui était dans la cour. Et sur le sommet de ce tas de blé, il y avait un bassin de cuivre qui servait de mesure. Et soudain j’entendis un pet épouvantable qui se produisait dans le tas de blé. Et je vis, au même moment, le bassin de cuivre projeté en l’air à cinq pieds de hauteur. Alors moi, malgré ma stupéfaction, je fouillai vivement le tas de blé, et j’y découvris l’Arabe, qui était caché là-dedans, le derrière tourné en haut. Et, l’ayant attrapé et ligoté, je l’interrogeai sur l’étrange bruit qui m’avait décelé sa présence. Et il me répondit : « C’est voulu de ma part, ô mon seigneur ! » Et je lui répondis : « Qu’Allah te maudisse ! Et éloigné soit le Malin ! Pourquoi péter ainsi contre ton inté-