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la naissance de ce chanoine Nicolas, dont le trépas laissait de si unanimes regrets parmi la population de la petite ville polonaise, ou, mil, pendant trente années, il avait fait preuve de toutes tes plus nobles et utiles vertus.

Et, commec les habitants du pays 

l' avaient prévu, le souvenir de cet homme de bien s'est si peu effacé qu'en l'honneur de l'échéance des quatre siècles on doit fêter, en plusieurs lieux, l'anniversaire de sa naissance. Mais il faut le dire, quoique l'auréole attachée a sa mémoire n'en devienne que plus que plus brillant et plus respectable— ce n'est pas aux qualités de son cœur que le chanoine de Frauenbourg doit de se survivre ainsi.

Nicolas Copernic — pour l'appeler du nom qu'il a immortalisé par la profondeur de l'elevation de son esprit. – avait inscrit ses titres de gloire dans ce livre qu'on lui apporta sur son lit de mort, et qui ne devait être rien moins que la base de toute la nouvelle science astronomique.

Juüqu à lui, bien qilr quelques sages dr Kâiiliquite eus- sent cul ltv u le pou de solidité de ('elle assertion, on avail toujours admis, sur la loi de llllusbm des sens, qui la terre occupa il le milieu du svslèuie Universel. Copin-nie n>a détrôner tndrr gbdjr, et prouver qu'il u elail qu'une planéle se Munn.iiil nu- tour du ennui rentre de eli. rieur el de lumière qui s'appelle b' Soleil.

A vrai dire, li^jennrniil- [imiriYiienl - ehuinor qu on alLlrhe Lmb ddinpm'LuU'e il une décnuvrrle de rr genre, Qu impol ie, diront-ils, qu'eu sache mi ne anche pas quel est relui des globe* qui reste immobile eu gravite autour d un autre? Mais on peut leur irpnn dre que, nuire eellr première iililîlè qui rnusish 1 n élever Je niveau des aines «q des I -, parle plus de pénétration des secrets du Créateur, b 1 cote pra* liquc, usuel, des progrès humains y a rnnsidrrnhh'- meiil gagné; car, sans chercher ailleurs. la rei iiliule des données astronomiques n>M.-eMe pas le Fondenu'nt. indispensable dfsrcLtUous maritimes; etn'cst cf !'i<'nd.)Yoir mis la précision la on il n~:)\:)it aupa rayant qm'doute et confusion?

Quoi qu'il en soit, nul ne contredit plus aujourd'hui )<'s:)fti)))):)tionsd<' ~t'oie <)t)ot).)s:))'d))<~o)'t'rni<: tuais ))it'))t'n prit ~an'-doute :m\em'r.)b)t'('h.)n'u!)<' d<'dispa!'<)i)!'e()uinot)dt')ors'])u'soniiYt't'tntj'u)')! ca)'iIauraiLpufui('u<'outt't-t')n')'d't)e)))i-rn oj)positionaYo'!cs idées.)'ft;ucs.


laine, n'avatl pas t enqnis eetlr impo- sante autorité qui fait que , par la poétique grandeur de ses vues, elle arrive à se rmu ilier avec tes trudilions, Lite en discute par-

lois le liHle, mais c'est le plus sonvrnl poiimi rvpltquei el rutisunw Lesprïl , îâï somme. Co- pernic avait péné- tré el mis eu lu- mière la simple, l'uTérulfdilo vé- rité iislrüiumnqne, P aul n'-' oui arlieve

son O'UVI'e de In

ride ru n en pl hui des pliénaménes nui- versets ; mais ta preiiMèrr glidre lui pente si entière, qu'aujoiird’lmi, nu- ire deux milmimli- Éés riviiles une \ i v « ^ ItlUe - elaldil pour le revendiquer rem me tm de L îiin eu-

la Pologne, qui, pour n'etre plus un peuple, n'est pas oinins restée une nation toute jatcuse des souvenirs (te sa~iei))e existence il est ne Polonais, il est mort )'o)onais,il est a)noi!

Et pendant quà Varsovie aura tien une nouvelle