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n’emportant avec moi que les regrets de l’amitié.

« Puissent ces chants me survivre et te suppléer dans le souvenir de ceux que j’aimais ! Puissent-ils aussi charmer quelques loisirs de ceux qui aiment à exercer dans la contemplation de nos destinées, avant de tomber à leur tour dans ce sommeil sans rêves, où vont se terminer toutes les agitations de la vie humaine ! »

Pézènes, le 22me du mois de juillet, de l’an de Notre-Seigneur, 1272.



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