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DU LIVRE QUINZIÈME.

à Hugues d’Alfar, et un Bertrand qu’il recommanda par testament à son héritier Raymond VII ; celui-ci eut pour mère Jeanne d’Angleterre.

Histoire de Languedoc, t. 3, p. 325.

(3) Raymond le vieux, étant excommunié, fut un matin au devant de l’église de la Daurade pour prier Dieu, et bien qu’il fût indisposé, néanmoins il y retourna encore après dîner, étant si débile qu’il ne pouvait se relever sans aide.

Catel, Hist. des comtes de Toulouse, p. 317.

(4) Le mot trouveur est aujourd’hui en déchéance, et, ce qui est remarquable, les deux mots devenus français qui le remplacent, sont l’un et l’autre d’origine romane ou patoise. Ces mots sont troubadour et trouveire, où sont conservées les dénominations patoises de troubadou et troubaire.

(5) Il sera fait plus ample mention de Ferdigon au livre XXIX.

(6) Ces compagnons du gai savoir ont précédé d’un siècle seulement les sept premiers mainteneurs des jeux floraux. On lit dans le programme que ceux-ci adressèrent en 1323, aux poètes de la langue d’Occitanie : « Nous sept qui avons succédé