toi, s’il ne l’est davantage, je te fis décharger quatre fois de cette manière, et que loin de rejeter le foutre que j’étais parvenue à pomper de tes couilles, que tu traites quelquefois de divines, j’en alimentai mes entrailles enflammées ?
Mais plus de rancune. Je te guérirai en te tenant à la diète ; car ce n’est qu’échauffé par la fouterie, que ton beau, ton cher vit est triste et languissant.
NB. Voilà tout ce que j’ai pu recueillir de la
galante correspondance de l’abbé Bossu, avec Sophie
Langelot, jusqu’au moment qu’il lui extorqua
le reste, et qu’elle se vengea de sa détention par
les couplets suivants.
Sophie Langelot au curé de Saint-Paul
CHANSON
Quoi ! lâche suppôt de l’autel !
Tu fis de l’église un bordel ;
Ainsi donc métamorphosée,
Tu vainquis mon âme abusée :
Changeant les ordres du destin,
De moi, tu fis une putain.
Te souviens-tu, monstre infernal,
De ce moment triste et fatal,
Où, succombant à tes caresses,