tu, illuminant tout le peuple : En lieu où l’excellence n’eſt pas en eſtime, & où lon ne fait cas que de ce que le plus indigne vulgaire tient à profit, partant ces raretez ſortans de ce lieu, iront brauement apres les autres és endroicts où le merite eſt recogneu, & là iouyſſans de leur propre gloire, auront heureuſe vigueur entre ceux qui le valent. Nous ſommes trop longtemps ſur ceſte cōſideration, donnons aër à nos deſirs : Et vous belle de mon cœur, qui forcez mon naturel à me tenir icy, contre les droicts de curioſité, effacez par voſtre belle grace l’incommodité que mon eſprit reçoit parmy ces !
Les Fortunex eſfans partis nous euſmes de la pierre raſſaſiante, puis partiſmes de Sympſiquee, & ſurgiſmes au haure de l’Empire de Glindicee. La façon de viure de l’Empereur treſ-accomply, dont fut ialouſe Etherine fille du Roy de Boron, laquelle pour ceſte cauſe fit vne hazardeuſe entrepriſe auec le Prince de France.
I nous euſſions eſté bien ſages, les Fortunez ne fuſſent partis de Sympſiquee ſans nous, & ce qui nous donna plus de regret, c’eſt qu’vne Demoiſelle du pays en deuiſant librement nous dict leurs noms, Elle penſoit que nous les cognuſſiōs,