Page:Le Theatre italien de Gherardi - Tome 4.djvu/379

Cette page n’a pas encore été corrigée
344
Les Adieux des Officiers.

VULCAIN. Je crains que pour en voir feulement la moitié’.,, Elles ne foiem pas affez nettes. Mais morbleu > on fe moque de moy !, Parlafang. ••. ’ · MO MUS s’11dre/fant ÀJupiter, chante~ De fa Venus la complaifanre adrdfe, ~ nd il voudra peut faire fon bonheur. Mais ta Junon, en faifom la Diable !fe, Te vend bien cher un chimerique bonne~ VULCAIN. Et bien Couvent une faulfe faO’ellé, J>em à l’Epou :x caufer un •ray ~alheur. L’ 0 CE AN v,ut p4rler, & touffe toujourr. VULCAIN. l’Ocean e !l : bien flegmatique ! - L’OCEAN. ’ Je te fais prefem de ma toux. Rien n’efl : plus fouverain pour un mary jalonx,.. ~laragedansl’ame, , y eut fe cacher pour furprendre fa femme. Je fouhaite à tous ceux de ta focieté Qien pareil cas leur gofiçr irrité, ’ · . Trahiffe

Leur forte cnriofité ,

fa leur ép :i’rgue le fupplice • D’efhe pleinement convaincus Qi.on les a fait ( il touffe) Cocus. VULC Al N. Ce qui t’enrhume de la forte , C’cfi que ton Epoufe Thetis ’Tc : fait fouvcnt coucher fur le pas de la porte, Pendant que le Soleil diflipe fes ennuis•. " ;