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Les Adieux des Officiers.


JUNON. . M onficur Vulcain , criez , rempefter ,, faites le diable à quatre, ju(qu’à ce qu’on "’ous ait rendu jufüce. LaiRèz-moy faire, je vais condamner au Carcan tous les.-Epoux in.6ddes. VULCAJN. Tous ? donnez YOn !-en bien de garde-~ 11 n’y aurait perfonne pom faire exc :œtcr la Sentence. JUNON. J’enrage_ quand je vois••• w JU :PITER ’lç]uno11•. Taifez-vous, Jaloufe ; on Yoit bien que· vou.- . avez de la rancune contre les Maris~ Si vous vouliez du bien à Vulcain, vous luy confeilleriez de ne fe Point faire juger ; car le mieux qui fuy puilfe arriverdans cette affaire., c’dl d’avoir tort. VULCAIN. Ouy, je commence à comprendre que ; (ilchantt)Ilatort,il atorr, n’apas tout-à -fait ton. Car pour avoir un Arreft contre ma femme, je ·n’ay que faire de venir icy ., le Public en prononcera plus que je ne voudrois. Monfi.eur Jupiter. , puifque vous jugez à propos de ne me point juger, au moins donnez-rnoy 41uelque coniolation dans mon atllifüo~ "" ,