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Les Adieux des Officiers.

CUPIDON. Depuis que je m’enyvre, Notre negoce en va bien mieux. L’on aime à voir briller mou flambeau dans mes yeUJ ; La force du ben vin fait toute ma puilfance , Et j’attaque les cœurs en rempliifant la pance. { Il eh11nte.) ~ ellejier1I p,u"oi1 fu,. J11fio ,Fun J’e/41 • Rejijler /IUX "PP’" De •• t,-ogne vermeille 1 J*embr11fa plus de cœurs 4’flWJUt mA b1uteilf•.,. §l !je n petit marmot Avecq111 fan f4lllft. · VENUS. Si tu ne f~ais vaincre le~. »elles , Qi_en faifant clébauch’e avec elles ; lnfame, va regner dans les Treiz& Cantons.,, Ou fur les Bas Brettons. CUPIDON. Vive, vive P~is, ; pour les amours bacchiquc :s J. Mon frere s’y fait des pratiques : Mais ma foy depuis peu Le petit fat n’a pas beau jeu. l~ cœurs y font fi durs , que îes petites ficch~ N’y f~auroient faire brcchcs ; L’acier en dl : trop fin. Po’" : moy, quand j,’ay trempé celles :-cy dans le vm, Je fuis tres-fcur dêma conqueflc. VENU S. C’cft une trahifon que d’attaquer la tdl :e ,. Lerfqu·o ~ veut aifoiblir le c-o :ur. ’"" ,G0ogle l