fulgurant qui se termine par ces mots « Nous applaudirions un incendie assainissant le hangar luxembourgeois, si ne s’accumulaient ta les documents indispensables aux monographes futurs de 1%bêtise au xixe siècle. »
De Gustave Kahn, deux longs articles daDifficultédevivre, et Theâke ; une fouguepré-originale de Verlaine Bmtguetà Marie*Trois pièees, dont Tune concerne le théâtre et une autre la peinture, sont de Jules Laforgue il a vingt-six ans et mourra moins d’un an plus tard. Camille de SainteCroix, Jean Àjalbert (arriviste et répandu, plus réaliste que symboliste), Paul Adam (qui signe aussi Jacques Plowert)) Aaneis Poîctevin (disciple des Concourt, ami très cher de Verlaine, dont Fénéon, fitourmoat. Cb. Morioefont très grand eas)^ Charles V^çmet(wpoète et psydiophysicien » e’est un curieux personnage, et certainement celui qui essaie lé plus préeisêmeEt de cerner les désirs des symbolistes), sont les principaux responsables de cette précieuse feuille.
Notons, parmi les importants articles de critique, deux pages concernant la légende de Rimbaud, que l’an dit massacré au Harrar, et relatant Fopinîon désinvolte d’Anatole France sur lui. Bêleronségalement les très intéressantes publicités pour les ouvrages publiés chez Tresse et Stoek^ Soirat, et même Vanier (qui continue cependant à s’intituler daîi » Ie Dêeadent « éditeur des modernes et des décadents » ), et pour ïa Voffug.
Le Symboliste est la charnière indispensableentre le Dêùaâ&ntet la Yoffue.
ï$e four sole « oœj/ublisliedissues oftiw tnosiéiierest&ngafthê Symbolût reûiewf>. Lmmchedby Gustave Kahn, il embarkedin $ « oferf cotdraversy vriihle Déeadent, drawingio its sHe most offh4s latter emtrihttam, $ueh aç Laforgue, Moréas, Pwil Adam> those wlw nfitsed àUegianeetit Verlaine mi Mallarmé.
It thereforeshouU be reeul as a paikpMeL Tuxt pages are âeèkaML to Bwéaui’s kgmi atid relate— AnatoleFrancis off-hatul appréciation of the poet.
Un volume in-folio, relifî, 16pages.
Fr. F. 120. Docuihents joints. 39
