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effort n’est perdu : Elisca répond aux transports de son amant ; ses tétons, sa bouche, ses jolies fesses, excitées par des carresses stimulantes, tout est de la partie : l’intrépide Verteuil fait des progrès ; il avance, Elisca souffre ; mais, courageuse, son sang qu’elle voit couler redouble son ardeur, et, au même instant, un coup nerveux fait entrer le couteau sacré qui la déchire. La douleur et le plaisir se succèdent alors ; mais le dernier demeure, la douleur est oubliée, et, après des secousses plus vives et plus faciles, Verteuil et Elisca, confondus, pamés, sentent les approches du bonheur, les proclament par leurs accens entrecoupés, répandent la liqueur enchanteresse, et terminent enfin avec cette plénitude de volupté qui caractérise