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l’irrite encore, et conduit, par les plus douces agitations, à une première convulsion de volupté. Dès ce moment, plus de retenue ; Elisca elle-même laisse tomber sa tunique, s’affranchit des voiles qui la couvrent ; et Verteuil, fortement armé par la nature, met dans la main de sa maîtresse l’instrument de leurs nouveaux plaisirs ; Elisca détourne les yeux ; mais au même instant elle est précipitée sur sa couche : sa chemise, le seul voile qui lui reste, est entièrement soulevé ; placé entre ses cuisses, qu’il écarte et soutient, son amant se présente à l’entrée d’un azyle dont le contour se couvrait à peine d’un léger duvet, et dont l’ouverture virginale fut pourtant déjà disposée au plaisir, par les essais d’un bonheur solitaire. Aucun moment, aucun

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