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le corps de Sophie frisonne et
palpitte ; le satyre, érotiquement
barbare, se rit de ses douleurs,
employé toutes les forces de ses
lombes, la déchire, rougit ses
charmes d’un sang virginal, et,
par un dernier effort digne d’Hercule,
pénètre enfin, oui, pénètre…
Un cri de Sophie annonce
sa victoire ; il plonge,
plonge encore, avance, revient,
s’agitte d’une manière convulsive,
et est assez heureux pour ne pas
arriver seul au comble du bonheur.
Cette scène, comme il est inutile de le dire, était le moyen de la vengeance infernale de Me. de Sénange : pour la rendre complète, une vieille, bien hideuse, vint ouvrir la prison de Senneval, et s’offrit pour profiter de ses transports et de sa combustion.