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dangereux, que votre règne a fini avec l’empire ténébreux des hypocrites et des dévôts, et que celui de la raison, de la liberté bien entendue, du bon esprit, de la philosophie et des sciences a commencé, et doit entraîner rapidement dans son cours la perfection de cette pauvre espèce que vous croyez vainement faite pour les fers, les freins et le baillon.

Salut et fraternité,
l’Auteur du Sylphe
observateur.