qui cachent la partie postérieure
de son corps ; alors une armoire,
pratiquée dans l’épaisseur du mur,
s’entrouve, et parmi les nombreux
instrumens de cruauté et de plaisir
qu’elle renferme, Bel-Rose voit
Evelina saisir un martinet dont elle
frappe sa malheureuse compagne,
de manière à bientôt rougir et ensanglanter
les aimables rondeurs
qu’elle livre aux plus terribles
coups. La femme barbare qui commande
cette cruelle punition ne
tarde pas à sentir les effets du spectacle
qui lui est présenté. Des feux
que les moyens ordinaires et naturels
ne peuvent plus allumer, l’embrasent
progressivement ; leur ardeur
fait bouillonner son sang et
change l’expression de ses traits :
bientôt, gênée par la seule tunique
qui la couvre, elle s’en débarasse ;
et, affranchissant également de
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