image sur-tout, furent toujours pour
moi la source d’une véritable jouissance,
que je veux essayer de te faire
partager. Ta chambre à coucher,
me paraissant la plus convenable
à l’exécution de mon projet, je l’ai
choisie pour en faire, à ton insu et
pendant le séjour que tu a fais à la
campagne, la couche nuptiale de
cette friponne de Justine et de
Lafleur. — Quelle idée ! et… monsieur…
Pas tant de sévérité ; écoute et pardonne une fantaisie à ton meilleur ami. Je voulais savoir, par un signal exact et précis, le moment où les deux acteurs, placés sur le théâtre où j’ai figuré quelquefois dans tes bras, arriveraient à ce degré de plaisir et de transport, dont les secousses se communiquent au lit fortuné et le fait tressaillir ; j’ai, en conséquence, fait